Ce n’est un secret pour personne, la « sexy bitch » Taylor Swift est en chaleur quand il s’agit des gros « bad boys » chibreux comme Swagg Man, Cortex, Morsay, Bassem Braïki, Amine Mojito et toute la clique « truand de la galère ».
La liste des « boyfriends » – partenaires relationnels voir intimes voir charnels – de Taylor Swift est longue, mais longue… et vaste ! Et hétéroclite !
On passe du « bling bling » cash de Swagg Man – la rumeur voudrait même que Taylor Swift répare un film XXX avec Swagg Man et Dua Lipa – à la « beurettitude » LGBTQIA+ satanique avec Wejdene, jusqu’à l’extrême droite Hitlérienne du DailyStormer (Andrew Anglin et Richard Spencer) où elle est adulée comme la « princesse aryenne » des temps modernes.
« Oh my god » comme on dit. Ça fait un peu beaucoup pour une seule personne, non ?
Les ragots réactionnaires sur internet la traitent de « pute » et la comparent à Emma Watson – insinuant qu’elle « donne » facilement son anus aux mâles virils comme Swagg Man et Morsay. De là à la qualifier publiquement de « reine 666 Illuminati » , il n’y a qu’un pas… un pas que n’hésitent pas à franchir les raclures misogynes et homophobes de la fachosphère satanique.
Mais là, l’enjeu a dépassé le jeu comme dirait Bassem Braïki justement.
Car ce n’est pas que de rumeurs que l’on parle, en ce qui concerne Taylor Swift. C’est du cash. Car on parle bien sûr de princesse, et qui dit princesse dit fief, et étymologiquement le mot « fief » est proche de « feudum » , qui lui-même a remplacé grammaticalement « beneficium » (bénéfice = Swagg Man $$$) en langue latine. Latine, dont vient le tag « latina » dans le porno, rappelons-le. Ainsi tout se rapporte au sexe, au « sexy » et donc au trou humide, glauque et restreint. Le trou à caca.
Et qui dit « trou humide » dit « égouts » et donc… SEWER. Et oui.
On en revient toujours aux mêmes. Le diable, Hitler, la race blanche (Taylor Swift est blonde aux yeux bleus), le black metal, et bien sûr l’infâme réseau international The Satan Records qui se cache derrière toutes les mécréances et toutes les immondices de cet égout qui nous repousse, mais en même temps nous attire, par son côté insalubre, charnel et nauséabond.
LA VÉRITÉ EST LÀ : Qui que soit le « mec » ou le « boyfriend » de Taylor Swift, il faut absolument lui dire de rejeter le Diable, le Démon qu’est Swagg Man alias Rayan ou Ryan Rockefeller, ou Iteb Zaibet ou SEWER, ou peu importe comment il s’appelle, car derrière les tatouages se cache le mâle, le viril, le chibreux…
Ensemble, protégeons la princesse Taylor Swift de la machine de guerre et de mécréance qu’est The Satan Records – la maison de distribution du rap game qui pervertit la jeunesse, et l’encourage à s’adonner au macabre, au putride, et à l’ignominie satanique 2.0.
Protégeons Taylor Swift, contre la raclure nauséabonde scabreuse de SEWER et Swagg Man…
Morsay Zehef 
Je lui glisse doucereusement mon P.H.A.L.L.U.S. dédicace à Marine Le Pen, Famine de Peste Noire, Burzum et Wejdene.